L’UNICEF envisage un ambitieux programme intitulé « Résilience pour la Paix », axé sur le renforcement de la cohésion sociale et la résilience des communautés exposées aux conflits, particulièrement dans les régions du Tchologo et du Bounkani. Ce programme est initié dans le cadre d’un partenariat stratégique avec la Banque Allemande de Développement ainsi que le soutien du gouvernement ivoirien, ce programme s’étend sur une période de 48 mois, mettant en œuvre diverses activités multidimensionnelles.

Les objectifs principaux du programme comprennent le renforcement des services sociaux, couvrant des aspects cruciaux tels que la santé générale, la nutrition, la lutte contre le VIH/sida, l’éducation, la construction d’infrastructures scolaires, le renforcement des capacités, ainsi que l’accès à l’eau potable, à l’hygiène et à l’assainissement.

Je rédige cet article avec une profonde admiration pour les initiatives innovantes de l’Unicef. Cette organisation, résolument engagée, déploie ses actions avec une persévérance admirable, étendant son impact jusque dans les contrées les plus éloignées. Cela témoigne de son inlassable détermination à venir en aide à toutes les personnes dans le besoin.

Un aspect essentiel du projet

Le projet consiste à mobiliser les jeunes en tant qu’ambassadeurs de la paix, favorisant ainsi la compréhension de la cohésion sociale dans les zones ciblées. Les activités s’étendront également vers des zones éloignées, avec une attention particulière portée à des localités telles que Bouna et Ouangolodougou, soutenues financièrement par la Banque Allemande de Développement.

Monsieur Basse, responsable de Unicef se prononce

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« Le programme s’engage à renforcer les infrastructures permanentes pour améliorer le bien-être des populations, notamment par l’utilisation de pompes solaires pour atteindre les régions éloignées. Des initiatives spécifiques telles que les foyers de services nutritionnels et les unités « Merci Kangourou » seront mises en place pour assurer la survie des enfants prématurés, tandis que des ateliers de protection viseront à sensibiliser et à sécuriser les enfants victimes d’exploitation et d’abus. »

Basse

Le responsable de l’Unicef, Monsieur Jean-François Basse, exprime également sa satisfaction à travers une interview, d’être entouré des jeunes, en particulier des jeunes reporters, saluant également leur engagement en faveur du bien-être de leur communauté.

Avant d’aborder la question de la résilience pour la paix, il souligne que cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un partenariat crucial entre la Banque Allemande de Développement et l’Unicef, avec le soutien du gouvernement ivoirien.

« Les activités mises en place visent à renforcer la résilience en intégrant divers aspects, tels que la santé générale, la nutrition, la lutte contre le VIH/sida, l’éducation, la construction d’infrastructures scolaires, le renforcement des capacités, l’accès à l’eau potable, l’hygiène et l’assainissement. »

Il souligne également que: « Les jeunes joueront un rôle clé en tant qu’ambassadeurs de la paix, favorisant la compréhension de la cohésion sociale dans le Tchologo et le Bounkani, avec une expansion des activités vers des zones éloignées où les problèmes persistent, notamment à Bouna et Wangolodougou, financées par la Banque Allemande de Développement. »

Les explications du représentant de l’Unicef

« Le projet vise à renforcer la cohésion sociale et la résilience des communautés exposées aux conflits dans le Tchologo et le Bounkani, en se concentrant sur l’accès et la qualité des services sociaux. Cela inclut des initiatives telles que les foyers de services nutritionnels et les unités « Merci Kangourou » pour garantir la survie des enfants prématurés, ainsi que des ateliers de protection pour sensibiliser et assurer la sécurité des enfants victimes d’exploitation et d’abus. L’aspect crucial de l’eau, de l’hygiène, de l’employabilité des jeunes filles et de l’assainissement est également mis en avant. »

Basse

Avant d’ ajouter ceci « le volet « Résilience pour la Paix » se distingue par son approche holistique et ses multiples projets, dont la construction de latrines pour éliminer la défécation à l’air libre. Ainsi, la responsabilisation des jeunes est un élément central du programme, avec une participation active du gouvernement ivoirien à travers le dialogue générationnel, impliquant pairs, guides religieux et gardiens de la tradition. À terme, l’objectif est de contribuer au bien-être de 41% des populations ciblées.

Basse

En résumé, « Résilience pour la Paix » est une initiative complète visant à transformer positivement la vie des communautés touchées par les conflits en renforçant leur résilience sociale.

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